Je vous ai déjà parlé de cette autrice formidable à qui nous devons La Maison des petits bonheurs (1939, Prix Jeunesse), La Rue des Quatre-Vents (1946), La Porte ouverte (1955)… Des romans éblouissants de modernité que j’ai eu la chance de pouvoir rééditer chez Casterman. Sous ses allures de petite femme discrète, elle révolutionna l’écriture pour la jeunesse.
Quand en 1932, elle signa un de ses premiers contrats d’auteur (n’imaginez pas que le mot autrice avait cours alors), le contrat est au nom de « Madame J. Duval, épouse assistée et autorisée de son mari Jean Duval ».
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